Après de longues années de durs labeurs, de longues années de résilience, de longs mouvements continus d’efforts harassants, de persévérance, de critiques injustes subies et de mécomptes soufferts ; après les salutations distinguées de l’agence de notation Standard & Poor’s, les encouragements de la banque mondiale, et les résultats exceptionnels de validation de 16 indicateurs sur 20 du programme MCC, il advient en effet une éclatante ÉVIDENCE qui transparaît à travers les résultats détaillés du Cinquième Recensement Général de la Population et de l’Habitat (RGPH-5) et de la deuxième édition de l’Enquête Harmonisée sur les Conditions de Vie des Ménages, (EHCVM-2) ; ÉVIDENCE qu’aucune bonne foi ne saurait nier, à défaut d’être taxée de crapulerie intellectuelle et de négation de la vérité !
Mais avant d’aborder les résultats détaillés de ces études dans leur suprême signification, il convient de rendre à César ce qui appartient à César, et de rappeler que nul autre charisme, de manière rassurante, nul autre don conféré par la grâce divine pour le bien commun, nul autre abandon de soi aussi pur au service d’autrui, -n’en déplaise à l’esprit de diatribe et de dénigrement de certains dénégateurs-, n’aura autant que celui du président Faure combattu, gardé sa mouillure populaire et exercé sa souveraineté dans sa spécialité sociale, et autant incarné cette puissante DÉLIBÉRATION DE RÉUSSIR. Il entre dans sa formidable puissance de travail comme dans la majesté de son volontarisme quelque chose d’inaltérable et d’intouchablement décidé.
Il faut l’avoir vu, l’avoir observé même de loin pour pressentir, capter à la surface de son regard perçant les sources chaudes de sa profonde humanité pour en être à jamais persuadé !
À dire exactement, ces résultats, comme l’a si bien démontré Madame Sandra Ablamba Johnson,
Ministre, Secrétaire Générale de la présidence de la République, ne relèvent pas du hasard ; mais d’une constance : celle de la politique d’inclusion sociale, courageusement menée par le président de la République et son gouvernement, qui handicape grandement la progression de la misère et ses effets néfastes pour la faire sensiblement et durablement reculer.
Que ce soit sur les plans suivants : l’accès à l’eau, plus de 83% des Togolais ont accès à l’eau potable, l’accès à l’électricité, ils sont plus de 70%. Dans le domaine de l’éducation, la parité quasi parfaite est atteinte au niveau primaire, avec un taux brut de scolarisation (TBS) de 115% pour les garçons et 114% pour les filles en 2022. Encore plus encourageant : 7 Togolais sur 10, âgés de 15 ans et plus savent lire et écrire. Sur le plan de la mortalité infantile, plus de 50% de baisse passant de 124 décès pour 1 000 naissances vivantes en 2010, à 58 pour 1 000 en 2022 ! Une très bonne nouvelle assurément applaudie par Dieu lui-même !
Aussi, l’engagement politique, dans le sens qu’il le conçoit, n’est pas une chose statique que l’on fige dans le temps et que l’on regarde de loin comme Ă©tant un trophĂ©e Ă conserver jalousement.
Au contraire ! Pour lui, c’est une affirmation active, constante qui doit être réanimée et réaffirmée, l’œil éveillé, l’esprit toujours en alerte et l’observation toujours vive parce que rien dans les choses humaines n’est stable et que la pensée, les choses, bref, la vie subit comme la mer, des flux et des reflux à travers le temps qui accomplit et défait les choses.
Cet engagement au service des idées justes et généreuses dont l’étoile conductrice : la FOI, qui est la lumière à laquelle il soumet ses besoins d’éclairage, a en effet engendré une vision opulente, dont on voit que la mise en œuvre s’opère non seulement avec les réajustements les plus nécessairement pragmatiques et le concours d’hommes et de femmes dévoués, mais aussi avec les assentiments des Dieux pour sauver autant que possible d’un monde sans foi ni loi et recru d’injustices la seule chose qui vaille : l’humanisme.
Le GCE Cyr ADOMAYAKPOR