La Haute Autorité de l’Audiovisuel et de la Communication ( HAAC) a prononcé, hier lundi, une sanction à l’encontre de France 24 et de Radio France Internationale (RFI).
Ces médias sont accusés de manquements répétés aux principes fondamentaux du journalisme, notamment en matière d’impartialité, de vérification des faits et de responsabilité éditoriale.
Et c’est vrai
La sanction est claire : trois mois de suspension de leur diffusion sur le territoire togolais.
Une décision jugée légitime au regard des dérives constatées.
Malgré plusieurs rappels à l’ordre, France 24 et RFI ont persisté dans la diffusion de propos inexacts, tendancieux, voire contraires aux faits établis.
Des écarts d’autant plus préoccupants qu’ils portent sur des sujets sensibles touchant à la stabilité institutionnelle et à l’image internationale du Togo.
La liberté d’expression ne saurait servir de prétexte à la propagation de contre-vérités ou à une présentation biaisée de l’actualité.
Les règles encadrant la pratique journalistique au Togo s’appliquent à tous, sans exception.
Ces médias impérieuse doivent respecter les principes d’équilibre, de rigueur et de vérité dans le traitement de l’information.
Par ailleurs, une tendance inquiétante à l’ingérence éditoriale est également pointée du doigt : certains journalistes étrangers, mais aussi des activistes opérant sur les réseaux sociaux — notamment sur TikTok — sous la bannière de France 24 et RFI, adoptent des postures plus politique que véritablement informatives.
Rappelons que France 24 et RFI sont des médias publics, financés par le contribuable français.
Pourtant, ils relais de plus en plus de façon officieux de certaines positions politiques hostiles à des États souverains comme le Togo.
Plutôt que de fournir une couverture équilibrée, ils semblent parfois s’ériger en tribunaux médiatiques contre les autorités togolaises.
Ces médias doivent comprendre que le Togo n’est pas un pays de désordre.
POUR LA PATRIE, NOUS SERONS LÀ !
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