🟥 ÉDITORIAL: UN JOUR, DEUX HOMMES ; UN SEUL OBJECTIF : L’UNITÉ NATIONALE

Un grand Ă©crivain disait Ă  peu près ceci : « L’authenticitĂ© d’un vrai, d’un profond travail rĂ©conciliateur finit toujours par Ă©merger, parce qu’il aura opĂ©rĂ© dans le temps en rapprochant les hommes de grandes et vraies supĂ©rioritĂ©s d’esprit et d’âme. Â»

De fait, ce jour du 3 mai de l’année 2025, qui avait pour lui les trois conditions suprêmes : l’événement, l’acclamation et la consécration,
restera Ă  jamais gravĂ© dans la mĂ©moire collective – pas celle sĂ©lective des dĂ©nĂ©gateurs, conspirateurs haineux – comme un jour historique dans l’histoire de la vie politique de notre pays.

Deux hommes, deux abandons de soi, deux sagesses si complémentaires, une émotion.
De cette Ă©motion si palpable depuis la prestation de serment du PrĂ©sident du Conseil jusqu’à l’élection du nouveau PrĂ©sident de la RĂ©publique par des voix unanimes, il en rejaillissait une telle VRAISEMBLANCE. Une vraisemblance du vivre-ensemble d’après laquelle adopter une opinion ou une autre, en faire la base d’un dĂ©bat, d’un raisonnement, d’un projet de sociĂ©tĂ© ne vaut pas la mort d’un homme, d’une femme, d’un enfant, et mĂŞme d’un chien !!!

Cette vraisemblance-là devient ressemblance entre deux regards qui se rencontrent et se confondent en une opulente vision commune ; une façon de penser et de respirer les choses ; de les donner avec un rythme intérieur face à une espèce de bousculade de l’histoire, une espèce de saccade des aléas que seules les âmes supérieures, qui ont presque toujours été trempées dans les épreuves, peuvent discerner dans les orages, dans les tempêtes d’un monde agité et incontrôlablement dangereux, et contre laquelle il eût valu mieux s’être collectivement préparés

Je veux ici saluer avec ferveur l’avènement du nouveau Président de la République. Un homme visiblement doux et rassurant ; un homme dont le souci des apaisements et la générosité même de ses émotions sont tissés par sa voix, ses gestes, sa démarche, cette canne à l’image résolutoire de tensions, et qui imprimera à quelque disharmonie persistante, si besoin en était, son caractère propre à l’accalmie, à cette vraisemblance, à cette obligation envers un peuple, à cette constitution de la Ve République, dans la langue de qui il est désormais le garant de son unité.

Rendons à César ce qui appartient à César. L’antagonisme viscéral qui, par des turbulences électorales, régissait notre vie politique depuis si longtemps aura été vaincu, en tout cas dévitalisé par la volonté d’un homme. Par son refus absolu d’obéir aux forces nocives de la division, et de s’être toujours obstiné à réunir les hommes et les femmes de son pays autour d’idées forces : d’abord la paix, la stabilité et la sécurité, éléments essentiels sans lesquels rien de grand ne saurait être durablement entrepris, et puis l’idée inflexible d’une justice sociale et la prospérité pour tous les Togolais.
En ce sens marquant et remarquable d’efforts, qu’il me soit permis de rendre un hommage très appuyé dont l’expression tire sa sève de la dédicace populaire, hommage à cet homme, à tout point de vue exceptionnel, et qui tout simplement, tout naturellement est devenu une véritable espérance nationale.

Ce 3 mai 2025, qui marquait l’entrée effective de notre pays dans la Ve République, aura été l’an 1 du renouveau, du miracle Togolais à venir. Un jour des Dieux béni, un nouveau jour sur la terre de nos aïeux grâce à l’incontestable volonté de cet homme-là dans son indéniable ÉVIDENCE, l’EVIDENCE FAURE.

Monsieur le Président de République, Monsieur le Président du Conseil ! Nous sommes tous derrière vous ! Avec l’entrain populaire d’une écrasante majorité !
❤️❤️ ❤️
Ĺ’uvrez ! Ĺ’uvrez ! Ĺ’uvrez pour notre bien-ĂŞtre Ă  tous.

Le GCE Cyr ADOMAYAKPOR