Togo : La Juridiction Désormais Au Service De l’essor Des Femmes

117


Le gouvernement togolais, sous la conduite du Président de la République Faure Gnassingbé, mènedes actions socioéconomiques de grande envergure en faveur des femmes. Ces actions leur permettentde s’exprimer librement au sein de la société, de participer aux processus de prise de décisions, d’occuper des postes de grande responsabilité, d’entreprendre dans un climat des affaires permissif, de jouir de tous les droits sans discrimination ni préjugés, etc.

Le Togo connaît une transformation appréciable marquée par des efforts remarquables en faveur dubien-être des femmes. Ces dernières sont totalementintégrées au cœur de la politique de développement. Grâce aux mesures stratégiques mises en place par les pouvoirs publics, les femmes bénéficient d’un soutien sans précédent. 

Ces efforts ont pour but entre autres d’améliorer la condition socioéconomique des femmes, leur accès aux crédits financiers, leur formation professionnelle, leur accompagnement dans tous les domaines.


Des avancées fort louables

Le rapport Women, Business and Law 2024 fourni par la Banque mondiale en dit long. Il met en lumière les avancées du pays en la matière, notamment la première place qu’il occupe sur 53 pays en Afrique et la 19e place sur 190 pays au niveau mondial en matière de réformes en faveur des droits de la femme. 

Aujourd’hui, la promotion des droits de la femme et de l’égalité de genre est une réalité au Togo.

Le pouvoir aux femmes

Il n’échappe à personne que, jusqu’à dernièrement, c’était une femme qui occupait le fauteuil de président de l’Assemblée nationale, ce qui faisait du Togo le premier et le seul pays à élire une femme à ce poste en Afrique de l’Ouest.

D’autres postes non moins importants au sein de l’équipe dirigeante sont occupés par des femmes dont la primature, le secrétariat général de la présidence de la République.


D’autres décisions à fort impact socioéconomique en faveur des femmes portent sur la modification de la loi relative au Code des personnes et de la famille qui reconnait la femme comme cheffe de ménage, la possibilité donnée aux femmes de disposer des comptes bancaires, le droit des femmes à la terre, l’intégration dans le Code pénal de la répression des discriminations et des violences basées sur le genre (VBG), et la modification du Code du travail de sorte favorable aux femmes pendant la maternité.